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Étude, Aix-en-Provence (13)
Iconoclaste, le chef Loïc Pétri a fait ses classes dans de belles maisons parisiennes (Jean-François Piège, Joël Robuchon) avant de revenir dans son sud natal. Dans son restaurant intimiste au style contemporain (seulement 12 couverts) au cœur du quartier historique d’Aix, il lâche la bride à son inspiration avec un menu unique de saison. Au gré d’accords audacieux et d’un usage pertinent d'huiles, épices et piments, sa cuisine libre sublime les beaux produits avec soin et dextérité (loup, homard, ris de veau...). On sent l’amour du bon travail et une envie de régaler les convives, des qualités qui se retrouvent tant dans l’assiette que dans le service !
Menus déjeuner à 39€ et 59€, du mardi au vendredi.

Palégrié Chez l'Henri, Autrans-Méaudre en Vercors (38)
Dans cette grange familiale aménagée dans l'esprit d'une table d'hôtes, la passion de Guillaume Monjuré reste intacte. Affectionnant les cuissons à la braise, il a installé son four à bois à la vue des convives. Brute et naturelle, sa cuisine n'en demeure pas moins personnelle et créative. Il sublime les végétaux et les produits de la pisciculture locale, à l'image de cet omble ikejime maturé une quinzaine de jours, accompagné de courgettes et d'herbes du jardin. La sélection pointue de vins, notamment bio et nature, est parfaitement conseillée avec le sourire par Chrystel, qui connaît ses crus sur le bout des doigts.
Menu déjeuner 48 € (hors dimanche et jours fériés).

Lore Ttipia - Auberge Ostape, Bidarray (64)
Sur les hauteurs de Bidarray et d'Itxassou, ce domaine bucolique, situé au sein d’un vaste territoire isolé, occupe les murs d’une ferme du XVIIe siècle. La magnifique terrasse panoramique permet de vibrer à l'unisson d'une nature grandiose. Le chef John Argaud, formé dans de belles maisons du Pays basque (La Table des Frères Ibarboure, Ithurria) et au Restaurant Le Meurice Alain Ducasse à Paris, honore avec soin des produits locaux de grande qualité. Les cuissons à la braise ou parfois terminées à la pierre chaude donnent un supplément d’âme à des assiettes bien pensées. Le midi, la cuisine se fait bistronomique, plus simple mais tout aussi gourmande.
Carte bistronomique servie du lundi au mercredi au dîner.

JU - Maison de cuisine, Bonnieux (84)
Le chef Julien Allano (La Mirande à Avignon, Le Clair de la Plume à Grignan) a choisi cette belle maison traditionnelle au cœur du village pour y cuisiner en son nom. Dans une salle aux pierres apparentes, le chef est à l’œuvre derrière un comptoir en bois, tandis que les convives prennent place au milieu d’un mobilier artisanal en noyer brut – un décor qui ne manque pas de cachet. Variétés anciennes de blé, cacahuètes de Malataverne, haricots verts d’une ferme voisine, pigeon de Sarrians : autant de produits locaux sourcés avec soin au service d’une cuisine harmonieuse, fine et riche en saveurs du Sud, auquel le chef voue une passion authentique.
Menu déjeuner à 48€, hors dimanche et jours fériés.

Amicis, Bordeaux (33)
Au cœur du Bordeaux chic, entre les allées de Tourny et la place des Grands-Hommes, le chef Alexandre Baumard (Logis de la Cadène à Saint-Émilion, L’Observatoire du Gabriel) s'est installé à son compte dans une adresse élégante sur deux étages. La cuisine se fait fine et lisible et met à l'honneur de beaux produits, notamment de la mer, travaillés avec justesse et créativité. Les desserts de Damien Amilien, aussi gourmands que techniques, prolongent cette partition délicate, comme les cerises cuites, crues et herbes fraîches. Le midi, on s'y presse pour une cuisine bistronomique plus accessible, avec toujours ce service attentif et cette belle carte des vins.
Menu déjeuner 'Menu du marché', de 28€ à 34€, uniquement du lundi au vendredi.

Symbiose, Cabourg (14)
Symbiose comme l’union de deux âmes, celle du chef et de sa compagne sommelière, celle de la cuisine et du vin, leurs passions respectives, symbiose enfin de deux formules servies dans deux salles différentes. La première se présente comme un "bar à dégustation" de plats aux influences plus ou moins lointaines à partager (ceviche de maigre, leche de tigre, guacamole) ; dans la seconde, le choix oscille entre deux menus dégustation, et un troisième, plus court, pour le déjeuner. Le chef, passé par de grandes maisons, s'inspire essentiellement des traditions et produits normands, qu'il manie avec créativité.
Menu Découverte à 49€ servi au déjeuner hors week-end et jours fériés.

Monique, Calvisson (30)
Venu du Duende de Nîmes, Julien Caligo a retrouvé son pays natal de la Vaunage, une plaine enclavée entre des collines, située entre Nîmes et Montpellier. D’une ancienne remise agricole est né ce bel espace intérieur aux murs blancs, pierres apparentes et mobilier épuré en bois clair – une table qui rend hommage à Monique, la grand-mère du chef, qui lui a transmis les fondamentaux de la cuisine. La carte déborde de maîtrise technique, comme en témoigne la fusion audacieuse entre la fraise de veau et le rouget, tandis que le cochon baron des Cévennes est relevé d'une sauce au boudin noir et aux épices. L’innovation culinaire à l’œuvre ici est portée par la fine fleur des produits locaux, tout juste sortis de terre (ou de mer).
Menu déjeuner à 50€ servi le midi sauf samedi et jours fériés.

Fario, Céret (66)
Le chef Kevin de Porre (ex-Contraste à Paris) est revenu au bercail avec la volonté de rendre hommage à son terroir natal, comme en témoigne d’emblée le nom de son restaurant, celui de la truite fario. Avec talent et humilité, entouré par une équipe motivée et soudée, il montre son savoir-faire dans un menu surprise qui privilégie les produits de la mer et le végétal, et bannit avec conviction ce qui n’est pas local, à commencer par le chocolat ou le café. Ses assiettes incisives s'avèrent intenses et maîtrisées ; les assaisonnements font preuve de subtilité dès l’amorce du repas avec des amuse-bouches intelligents et gourmands. Le cadre intérieur de cette ancienne grange a été repensé avec l’aide d’artisans locaux (ferronnier, céramiste, coutelier).
Menu déjeuner en 3 temps à 55€.

Asterales, Corrençon-en-Vercors (38)
Une jolie table dans un cadre montagnard sobre que ces Asterales, du nom poétique d'un ordre végétal. Le chef Ludovic Nardozza réalise une cuisine soignée et précise, qui sait mettre en valeur les beaux produits qu'il affectionne : langoustines rôties au beurre de marjolaine, girolles et bisque au vin jaune ; saint-pierre laqué au fenouil sauvage, fleur de courgette et seiche grillée ; pomme façon Tatin au miel de pays et cardamome noire... Service souriant et chambres agréables pour profiter du Vercors.
Menu Intuition "retour du marché" à 52€.

Ginko, Lille (59)
Non loin de la Grand’Place, ce petit restaurant discret est l’œuvre d’un duo complice au brillant parcours : la cheffe Valentina Giacobbe, italienne ayant grandi en Asie, diplômée de sciences politiques puis reconvertie à la cuisine, s’est formée au Gaya de Pierre Gagnaire, avant de travailler chez Rozó et de prendre les fourneaux de SOlange ; Julien Ingaud-Jaubert, pâtissier de formation, a enchaîné les belles maisons (Pierre Gagnaire, Meurin, La Laiterie…). Le lieu a tout le charme d’un bistrot contemporain raffiné, avec un mur de briques rouges… lilloises. La cuisine créative et délicate de la cheffe montre autant de personnalité que de justesse. Son menu saisonnier associe des préparations dominées par le végétal (comme ces petits pois liés aux orties et la sauce hollandaise à l’ail des ours qui accompagne le cabillaud), des assiettes marquées par l’Italie et d’autres par l’Asie. Le menu est également disponible en version totalement végétarienne.
Menu déjeuner à 35€ et 40€, uniquement le jeudi et le vendredi midi.

Ombellule, Lyon (69)
Dans l'écrin d'une ancienne brasserie de luxe, Tabata et Ludovic Mey (ex-Les Apothicaires) ont créé un restaurant dont l'atmosphère évoque celle d'un wagon de l'Orient-Express : boiseries sombres, fresques paysagères et banquettes rouge bordeaux qui rappellent les années 1930. Créative et technique, la cuisine du couple déroule le tapis rouge aux produits végétaux sans chercher la facilité, comme l'illustre cette entrée étonnante autour de la salade. Quant au ris de veau cuit au beurre noisette et légèrement fumé, artichaut Camus, vin jaune et noix, s'il relève d'une inspiration plus classique, il témoigne de la même précision culinaire.
Menu déjeuner à 58€.

Sechex-Nous, Margencel (74)
Sur les rives du Léman, une histoire d'amour et de poissons ! Manon Moleins-Plassat (en salle) et Lucas Dumélie (en cuisine) ont jeté l'ancre dans le petit port de Séchex. Précisons que Manon est originaire du village et issue d'une famille de pêcheurs (son frère Ludovic continue d'y lancer ses filets). Rien d'étonnant donc à ce que les eaux poissonneuses du lac jouent ici les premiers rôles : féra, brochet, truite ou écrevisses sont magnifiés par des cuissons rigoureuses. L'arrière-pays montagneux donne également de la voix avec ses légumes, ses herbes et ses plantes aromatiques, particulièrement choyés dans cette cuisine saine et légère : omble chevalier, épinards aux herbes du jardin et sauce marinière ; féra laquée au kalamansi, cornichon glacé et beurre blanc à l'estragon... Trois chambres sont disponibles pour l'étape.Menu 'Le Vent Blanc', en 3 services, 59€.

Belle de Mars, Marseille (13)
Derrière une grille en fer forgé, cette belle adresse de La Joliette dévoile un cadre tout en sobriété (murs blancs, parquet, tables et chaises en bois) où s’active dans une cuisine ouverte le couple formé par Michel Marini et Kim-Mai Bui. En toute complicité, ces deux talents éprouvés (William Ledeuil, Christophe Moret, Gérald Passedat) façonnent une délicate cuisine tournée vers la Méditerranée et la Provence, fine et lisible, digeste, et souvent émaillée d’herbes cueillies par leurs soins. Ce poulpe snacké sauce salmorejo, ou ce loup sauvage à la feuille de figuier, raflent la mise avec leurs saveurs droites et expressives. Et les desserts, gourmands sans être trop sucrés, ne sont pas en reste !Menus déjeuner de 27€ à 49€.

Dyades au Domaine des Étangs, Massignac (16)
C’est un domaine de 1000 hectares avec bois et forêts, pâturages et prairies, fermes et étangs, et son château du 13e s. qui offre tous les agréments modernes de l’hôtellerie de luxe. Installée dans les anciennes écuries, la salle du restaurant joue sur un savant mélange d’ancien et de contemporain. Aux fourneaux, Matthieu Pasgrimaud (La Vague d’Or à St-Tropez, Daniel Boulud à New York) exploite avec talent toute la manne végétale produite sur place, agrémentant ses plats d’herbes aromatiques et de légumes du jardin. Des assiettes potagères (fleur d’artichaut Camus et amandon de pruneau) qui se disputent la vedette avec les assiettes à partager, les classiques et les plats signature du chef (comme le pain d’esturgeon et caviar de Neuvic), sur une carte où éclectisme et réussite vont de pair. Chloé Tardivel, la compagne du chef, veille avec élégance sur l’accueil et le service.
Menu déjeuner à 38€ du mercredi au vendredi.
Freia, Nantes (44)
Au sommet d’un bâtiment contemporain surgit cette serre aux arches de bois dédiée à la déesse Freia. Un lieu idéal pour faire croître un jardin où poussent notamment des herbes aromatiques et des petits fruits... et pour profiter d'une vue panoramique sur Nantes. Après le succès de Vacarme, Sarah Mainguy séduit ici par sa cuisine poétique et créative, fondamentalement végétale, agrémentée de touches scandinaves et asiatiques. Chaque assiette regorge de belles idées, à l’instar de cette asperge blanche accompagnée d'une sauce XO végétale à l’algue, ou de ces bigorneaux aux petits pois rehaussés d'une neige glacée de gwell.Menu déjeuner en 4 temps à 50€.

Omija, Nantes (44)
À la tête de son propre restaurant depuis 2019 et fort d’une belle expérience étoilée, Romain Bonnet propose à travers des menus à l’aveugle une cuisine créative d’inspiration asiatique : l’omija est une baie coréenne connue pour associer les cinq saveurs. Le chef ne transige donc pas sur le goût : les gnocchis radis et algues jouent sur l’acidité avec brio, la crevette grise offre un piquant maîtrisé. Les cuissons sont précises, les bouillons savoureux, et les sauces gourmandes ou corsées. Les produits principalement bio sont sourcés avec soin (crevettes grises de la Cotinière à Oléron, lieu jaune de ligne, pigeon de Vendée). Une adresse intime et attachante où le service est efficace et bienveillant !Menu découverte en 3 services au déjeuner, 32€.

Origines Restaurant, Paris (75)
Dans un cadre contemporain, le chef aveyronnais Julien Boscus peaufine une cuisine aux saveurs tranchées, qui s'appuie sur de solides bases classiques. Offrant une vraie carte (ce qui devient rare...), il élabore des plats savoureux et maîtrisés, composés de très beaux produits de saison. En témoigne cette délicieuse tartelette croustillante aux morilles crémées au vin de voile, ou encore ce ris de veau doré au sautoir aux asperges vertes du Vaucluse étuvées au cédrat. Mention spéciale enfin pour son superbe lièvre à la royale, présenté dans une très belle version légèrement revisitée. Impressionnante sélection de tous les vignobles français, servis par une équipe très pro. Un lieu attachant et convivial.Menu déjeuner en 3 services, 57€.

Nuance, Plomeur (33)
Jules Rolland a ouvert sa table au cœur du village, non loin de la Pointe de la Torche. Issu d'une famille de restaurateurs, cet enfant de la balle a pris le pli très tôt. Il sait choisir de beaux produits (langoustines, saint-pierre, girolles…) valorisés par des cuissons impeccables, et rehaussés de jus intenses. Le travail engagé sur chaque assiette, notamment le jeu sur les textures, n'empêche ni la lisibilité ni la gourmandise. Preuve en est cette langoustine royale au beurre maltais relevé de saté et sa déclinaison de courge. Service souriant par Roxane et son équipe. Offre plus bistronomique au déjeuner.Menu déjeuner du jeudi au samedi midi, en 4 services, 33€.

La Maison Despouès, Puylausic (32)
L'ancienne maison du chanteur Pierre Vassiliu (« Qui c'est celui-là ? », n°1 au hit-parade en 1973) chante désormais les louanges de la sériole, fricassée de girolles et sabayon au parfum de sous-bois, ou des figues et feuilles de figuier travaillées à cru, en chutney et en sorbet. Au piano, le chef landais Julien Razemon, formé notamment par la famille Coussau à Magescq, développe une mélodie gastronomique raffinée et épurée, avec, comme panorama pour certaines tables, les collines du Gers et la chaîne des Pyrénées par temps clair. De la technique, de la créativité et une belle sélection de produits pour un excellent rapport qualité-prix : succès assuré !Menus déjeuner de 40€ à 55€.

Burnel, Rouvres-en-Xaintois (88)
Dans ce village de la plaine des Vosges, non loin des villes thermales, cet hôtel-restaurant est tenu depuis 1919 par la même famille. Les voyageurs affamés s'attablent avec plaisir dans cette grande salle sous charpente aux couleurs chatoyantes – l'ancien lavoir du village. Le chef Maye Cissoko peaufine avec assurance une partition de saison classique, au travers de deux menus où les beaux produits ne se contentent pas de faire de la figuration. En témoignent ce maigre de ligne poêlé au beurre noisette, petits pois à la française et sauce marinière ou, en dessert, ces cerises burlat jubilé infusées à la verveine, chiboust citron jaune et sorbet à la cerise.Menu déjeuner 'Plaisir' à 55€.

La Pomme d'Api, Saint-Pol-de-Léon (29)
Dans une jolie maison en pierre datant du XVIIe s., ancien atelier d’ébénisterie religieuse, Jérémie Le Calvez et son épouse Jessica reçoivent chaleureusement. La cuisine du chef se révèle fine et inventive, mettant à l’honneur le meilleur du terroir breton, avec des produits de première fraîcheur parfaitement sourcés (pigeonneaux, homards, langoustines, ormeaux, asperges, etc...) On s’attable dans la belle salle à manger aux pierres apparentes donnant sur un petit jardin pour savourer cette partition de haute volée. Pour prolonger le séjour et partir à la découverte de la splendide région, de charmantes chambres d’hôtes n’attendent que vous…
Menu du marché du mardi au vendredi midi 35€.

La Pomme d'Or, Sancerre (18)
Au cœur du célèbre village vigneron, un jeune couple d’origine bretonne a choisi de mettre à l'honneur les saveurs iodées. Dans ce menu unique aux intitulés évocateurs ("embruns marins de Saint-Jacques", "plénitude d'encornets" ou "langoustines vent des alizés"…), on rencontre des poissons d'une fraîcheur irréprochable, sublimés par des cuissons d'une belle maîtrise. Le chef connaît son métier et n'oublie jamais l'essentiel : le goût. La carte des vins donne en priorité la parole aux crus de Sancerre, et ce n’est pas pour nous déplaire. Service tout sourire dans un cadre sobre et élégant. Ce serait un péché de ne pas croquer cette Pomme d’Or !
Menu 'Découverte', à tous les services, 49€.

Kern, Seytroux (74)
Dans ce petit village du Chablais, au cœur de la vallée d'Aulps qui relie Thonon à Morzine, quelle surprise de retrouver le chef breton Jean-Philippe Lemaire, qui a travaillé à l’étranger et (beaucoup) dans la région, notamment au Clos des Sens, au K2 et au Farçon. Familier du terroir alpin certes, mais aussi de l’Asie, il séduit avec sa cuisine libre tout en finesse. Si l’assiette fait la part belle à la nature des alentours, elle musarde aussi du côté des souvenirs de voyages du chef, ou adresse des clins d'œil à sa Bretagne natale (beurre de baratte au sarrasin, confiture de lait...). L’épure domine des assiettes au graphisme impeccable et rehaussées de sauces corsées. Dans cette imposante bâtisse régionale où l’on s’attable sous un plafond cathédrale, trois chambres pour l’étape.
Menu déjeuner en 4 temps, 54€.

Auberge chez Guth, Steige (67)
Dans la vallée de Villé, sur les hauteurs du village de Steige, cette ancienne ferme auberge est la toile sur laquelle le chef Yannick Guth déroule ses créations gastronomiques, à base de produits du terroir, de sa cueillette (herbes et fleurs), mais aussi de poissons de lac (brochet, sandre, lavaret). Des exemples ? Féra aux algues, sauce rouille aux pois chiches ; cromesquis de faisan, ache des montagnes, persil et champignons... Sa créativité est parfois surprenante, mais toujours audacieuse et maîtrisée. Profitez aussi de la belle terrasse qui embrasse les massifs alentours : le tableau est alors complet.Menu déjeuner en 3 services à 48€, du mercredi au vendredi, hors jours fériés.

Et aussi...
Les Rosiers (Biarritz, 46€)
Le Mascaret (Blainville-sur-Mer, 29,90€)
Auberge du Vert Mont (Boeschepe, 50 €)
Maison Medard (Boulleret, 48€)
Les Genêts (Bram-sur-Mer, 33€/37€)
L'Embrun (Brest, 39€)
L'Empreinte (Buxy, 45€)
La Table de Philippe Girardon (Chonas-l'Amballan, 48€)
L’Ostal (Clermont-Ferrand, 49€)
Hostellerie la Montagne (Colombey-les-Deux-Eglises, 38€)
Le Pot d'Étain (Danjoutin, 45€)
L'Aspérule (Dijon, 40€/45€)
Origine (Dijon, 48€)
La Maison Tiegezh (Guer, 50€)
Briketenia (Guéthary, 48€)
L'Anthocyane (Lannion, 37€)
Pastis Restaurant (Montpellier, 30€/50€)
Villa9Trois (Montreuil, 55€)
Le Manoir de la Régate (Nantes, 50€)
Les Cadets (Nantes, 36€)
Aldehyde (Paris, 35€ à 45€)
Anona (Paris, 49€)
Auguste (Paris, 47€)
Contraste (Paris, 55€)
Omar Dhiab (Paris, 38€)
Quinsou (Paris, 58€)
Ze Kitchen Galerie (Paris, 49€)
Le Raisin (Pont-de-Vaux, 26€)
L'Auberge du Pont (Pont-du-Château, 40€)
Le Mas Bottero (Saint-Cannat, 50€)
Image d'illusatrtion : © Florian Domergue / JU - Maison de Cuisine